Voilà, à quelques jours près, 2 ans que j’ai posté mon premier article sur la Nouvelle Zélande. “Le premier pas.”
Deux ans et je m’en excuse, pas tant auprès de vous qu’auprès de moi-même. Car ce blog je le fais sans promesse prononcée, pour tant je m’en veux de ne pas m’être forcé à un peu plus d’assiduité depuis mon retour de voyage. Bon sang, voilà plus de 2 ans que je suis rentré! Et je viens seulement de finir de publier mes articles sur mon premier mois de voyage!
Alors oui, depuis je n’ai pas chaumé. J’ai pris nombre d’autres photos… mais pas tant que ça non plus. J’ai commencé en tant que consultant dans une entreprise, que j’ai quittée pour devenir consultant dans une autre. Maintenant bien dans mes basques, je me suis mis à l’astronomie. Voilà 2 ans que je n’ai pas voyagé.
Enfin, après cette brève intro sur ma vie, je vous propose de me suivre sur cette petite rétro de mes presque 2 mois néo-zélandais d’il y a 2 ans! Tu vas voir, ça va être franchement sympa !
C’est donc de cette photo prise à Arthur’s Pass au cœur des montagnes de l’île du sud, que nous allons repartir. L’hôtel dans lequel nous avions passé la nuit est à recommander et le proprio y est pour quelque chose. L’endroit est original, le fish & chips y est bon et la bière locale accompagne parfaitement le tout.
Alors que je pars d’Otira, Arthur’s Pass s’éloigne derrière moi et les montagnes s’abaissent. En Nouvelle-Zélande, pour trouver les glaciers, on va vers la côte. Enfin tout du moins, quand on vient d’Arthur’s Pass ! J’emprunte donc de longues routes côtières sous un soleil agréable. Des mouettes nous assaillent aux pauses déjeuner.
Le village dans lequel nous allons résider semble vivre du tourisme. Il y a des auberges, des campings, des supérettes. Les glaciers sont proches !
Je rencontre du monde, notamment en cuisine dans les auberges. On partage tous les mêmes lieux de vie, que l’on dorme en tente ou en chambre dortoir ou privée !
Au fond d’une vallée encaissée je vois la coulée givrée. Il fait pourtant doux et les arbres n’ont pas l’air de souffrir du froid. Les cascades crachent sans peine.
L’hiver n’est clairement pas là !
Closer to the glacier, closer!
” Dois-je tout vous décrire ? Ou vous trouver un marche-pied ? ”
Legolas à Gimli lors de la bataille du Gouffre de Helm.
Ainsi donc peu à dire sinon que c’est mon premier glacier. On ne peut pas approcher le glacier pour éviter de détériorer le lieu. Le glacier s’étalait avant jusqu’au parking. Aujourd’hui il faut marcher 5 kms avant de l’atteindre. Plus personne ne lui monte dessus par peur d’accélérer son déclin. Le survol en hélico est une option coûteuse. En survolant les montagnes, elle révèle l’étendu actuelles des glaciers au fond des vallées en altitude. Je ne la ferai pas, mais j’imagine que ça doit valoir la somme !
M’enfin bref, vous avez peut-être déjà fait le lien ? Cette citation, le titre de cet article… alors voici où je veux en venir !
Suis-je le seul à lui trouver un petit air de forteresse de glace ?
Enfin après avoir contemplé de loin ce témoin d’une lointaine période glacière, on retourne au parking en trottinant.
On les appelle aussi Nestor Superbe et voici l’un des derniers 5000 perroquets de montagne néo-zélandais. Leurs nids étant au sol, ces géants malicieux ont grandement souffert (comme le reste des habitants insulaires, les Maoris inclus) de l’arrivée des européens. Tous les Nestors que j’ai rencontrés vivaient à proximité des hommes grâce à la rapine. Celui-ci s’est emparé d’une pomme par la portière entrouverte d’un camping car.
Voilà, pardon pour l’attente, mais j’espère que cet article aura su vous plaire ! Dites-moi si vous aimez les quelques nouveautés que j’y ai inclues ! (leave a feedback 🙂 )
Bisous et bon voyage !